Michèle Labbre-Cayla participera au 7ème salon du livre de Cambo-les-Bains le 15 septembre 2024

Michèle Labbre-Cayla participera au salon du livre de Cambo-les-Bains le 15 septembre 2024.

A cette occasion, outre deux romans policiers, elle vendra son dernier ouvrage « La révolte dans l’âme » qui a obtenu le 1er prix du roman historique « Arts et Lettres de France ».

Le 7ème Salon du Livre de Cambo-Les-Bains du dimanche 15 septembre 2024 se déroulera, comme d’habitude, en centre-ville, au Parc Saint Joseph, sous la Halle Bernadette Jougleux.

Le thème de cette nouvelle édition est : « Rosemonde Gérard et les Femmes écrivaines » (Livres sur des femmes ou écrits par des femmes)

Cette manifestation réunit éditeurs, écrivains, associations littéraires et bien d’autres professionnels du livre pour célébrer la littérature et la partager en conférences, ateliers et lectures qui agrémenteront la journée.

https://www.cambolesbains.fr/fr/evenement/salon-du-livre

Michèle Labbre-Cayla vient d’obtenir le 1er prix du roman historique « Arts et Lettres de France » pour « La révolte dans l’âme. », édité chez BOD :

https://librairie.bod.fr/la-revolte-dans-lame-michele-labbre-cayla-9782322543571

En l’an 1581, à Bordeaux, ayant lu les Essais de Monsieur de Montaigne, Jeanne décide de conter sa vie, la jugeant tout aussi riche que la sienne en « accrocs et dentelles ».
Au cours de son récit elle prend à témoin les lectrices du futur, celles qui, à travers son ouvrage, pourront estimer si les temps ont changé.

Guyenne, août 1548. Le roi François 1er a instauré un nouvel impôt sur le sel, la gabelle. De ville en village, la révolte gronde dans la belle province.

À Bouliac, près de Bordeaux, le colporteur Antonin se réfugie dans la demeure de Peyre Faure et son récit incite celui-ci à rejoindre les insurgés. La vie de Jeanne Faure s’en trouve bouleversée. De pauvreté en soumission, elle se retrouve en la cité de Bordeaux où elle n’aura de cesse de prétendre à une liberté qu’on lui refuse.
Prête à tout pour sauvegarder son honneur, sa liberté et même sa vie, elle liera son destin à l’inquiétant Mathias au risque d’y perdre son âme.

Mais auparavant, elle avait publié un premier polar : « Meurtres à Mériadeck Bordeaux, juin 1940 »

https://librairie.bod.fr/meurtres-a-meriadeck-michele-labbre-cayla-9782322499922

Paris, 6 février 1934.

Une émeute met en péril la république. Des dizaines de milliers de manifestants s’affrontent dans la capitale. Dans une pagaille indescriptible, un meurtre est commis de sang froid.

Juin 1940.

L’armée allemande entre dans Paris déclarée ville ouverte. Trois jeunes filles fuient vers Bordeaux dans l’effrayant contexte d’un exode massif et épouvanté, pour retrouver le fils de l’une d’elles, Marie.
Mais rien ne se déroule comme prévu. Au moment où la République agonise, elles vont se trouver mêlées à une série de crimes que le commissaire Perthus et l’inspecteur Cazalis sont chargés d’élucider.
Trouveront-ils le ou les auteurs des crimes avant l’arrivée des troupes allemandes ?
Dans un roman aux multiples rebondissements, l’autrice se plait à nous plonger dans les affres de la politique, de l’amour et de la haine.

Ainsi que la suite : La fille de Mériadeck Bordeaux, novembre 1942

https://librairie.bod.fr/la-fille-de-meriadeck-michele-labbre-cayla-9782322524785

Bordeaux, 8 novembre 1942. L’emprise des troupes d’occupation allemande s’accroît, la faim grandit, les relations s’enveniment. C’est dans ce contexte oppressant qu’un soldat allemand est assassiné alors qu’il se trouvait en compagnie de la jeune Suzanne. Tandis que celle-ci, tombée dans un traquenard machiavélique, se débat pour en sortir, le commissaire Perthus confie l’enquête à l’inspecteur Victor Cazalis. La chasse est lancée sans que le moindre indice vienne éclairer ce crime et alors que Suzanne demeure introuvable.

Sous la menace d’exécution d’une vingtaine d’otages, le policier peine à trouver son chemin, se heurtant sans cesse à des impératifs moraux ou professionnels.

Un deuxième, puis un troisième meurtre, viennent accroître l’incertitude quant aux mobiles, mais la menace plane : le ou les assassins seront-ils débusqués avant l’exécution des otages ?